« Ni récit, ni journal. Peut-être des souvenirs, mais impurs, reconstitués ». Avec ces paroles de Philippe Lacoue-Labarthe, livrées à un texte magnifique conçu pour la XXXIX Esposizione internazionale d’arte du 1980, Venise, légendes, je m’apprête à reconstruire les deux derniers jours de mon Festival d’Avignon, placé cette année sous le signe du « genre » Lundi 23 juillet, la …
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